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Post respiratoire. Me voici de retour à mes fondamentaux. Post qui se précipite, qui se dépêche de prendre sa place. Il donne le "là" et le petit saut dans le temps, un arrêt cardiaque entre chaque battement.
Bizarrement, mon évocation du volcan dans le post précédent Un Ciel un mur était totalement sans rapport avec le ciel et le volcan Islandais. Je le jure. Je rendais tangible un trouble qui appartenait à un autre ciel, dans une autre région volcanique du monde (where my volcanic soul was made),.. , en utilisant l'image d'un troisième ciel au-dessus d'un troisième volcan (Pensée pour Malcom Lowry, mais ce n'était pas le sien non plus). Trouble qui n'a causé de tort qu'à quelques personnes qui me sont chères. Et puis, ressortant de ma bulle, j'ai bien été obligée d'ouvrir l'oeil sur l'actualité tant l'émoi est intense : étrange coïncidence avec le panache actuel qui met à terre des millions de gens.
Je reçois de cet article paru dans Le Monde daté de ce jour un écho trop bien perçu d'une pensée qui fluidifie mon esprit, rétablit la circulation. Je me sens bien dans cet édito fondamental. C'est comme si le journaliste m'avait gratifiée d'un baiser papillon.